La Française Marie Grandin (1864-1905) se rend aux États-Unis en 1892 avec son mari Léon, sculpteur, qui collabore à la réalisation d’une fontaine pour l’Exposition universelle de Chicago. Elle observe les mœurs d’un pays encore neuf ; elle s’indigne quelquefois mais s’émerveille le plus souvent, surtout pour constater à quel point les Américaines sont des pionnières en matière de liberté. Un récit injustement oublié.
Dettagli libro
-
Editore
-
Lingua
Francese -
Lingua originale
Francese -
Data di pubblicazione
-
Numero di pagine
288 -
Autore della prefazione
-
Argomento
-
Collana